Paul Guillaume découvre Amadeo Modigliani en 1914, par l’intermédiaire de Max Jacob. Le galeriste et collectionneur devient le principal marchand du peintre, qui en retour fait de Guillaume l’un de ses modèles de prédilection. Tous deux partagent des affinités poétiques et artistiques, nourrissant par exemple une passion pour l’art africain, et Paul Guillaume continue de diffuser l’œuvre de Modigliani de part et d’autre de l’Atlantique après sa mort en 1920.
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Amedeo Modigliani (1884-1920) Elvire assise, accoudée à une table, 1919 (don de Joseph Pulitzer Jr. en mémoire de sa femme, Louise/ Image Courtesy of the Saint Louis Art Museum) |
RDV Jeudi 25 janvier à 19h15!
Près d’un siècle après la rencontre entre les deux hommes, c 'est partant de cette relation mise à l’avant au musée de l’Orangerie, qu'une exposition a été conçue.
C’est par l’entremise du poète Max Jacob (1876-1944) que le jeune galeriste et collectionneur Paul Guillaume aurait découvert Modigliani en 1914. Il devient alors vraisemblablement son marchand, comme on le comprend à la lecture de la correspondance entre Paul Guillaume et son mentor, le poète et critique d’art Guillaume Apollinaire (1880-1918) alors au front. C’est dans ce contexte parisien que Modigliani immortalise son galeriste dans une série de portraits peints et dessinés restés célèbre.
La conférence est l’occasion de revenir sur le binôme peintre mécène dans ce Paris en ébullition des années 1910. Elle s’attachera aussi à explorer la manière dont les liens entre les deux personnages peuvent éclairer la carrière de l’artiste.
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ENTREE LIBRE
Galerie municipale Julio Gonzalez – 21 avenue Paul Doumer – 94110 Arcueil
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Moyen d’accès
RER B arrêt LAPLACE et les lignes bus 57,162, 187,323, 380 – velib'
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